J’ai publié sur ce blog 100 pellicules (reportages photos). Même si le titre de cet article est Pellicule 100 pourrait passer comme une erreur, comme j’ai fait une petite boulette et que j’ai publié deux pellicules avec le numéro 71, on est donc bien à 100 pellicules publiées, le compte est bon !
Ma première pellicule « Parc du Château de Rambouillet » est parue en 2017. Cent pellicules en 5ans, on est donc à une petite moyenne de 20 pellicules par ans. En réalité, je poste des photos sur ce blog depuis bien plus longtemps, mes premières photos publiées étaient celles de « San Francisco en Noir & Blanc« , en août 2008, il y a plus de 15 ans.
Depuis 2008 et tout au long de ces 100 pellicules, la qualité et le style de mes photos ont bien évolué. J’apprécie toujours les photos de paysages, mais mon traitement est plus « délicat ». J’ai aussi découvert la photo urbaine ou de rue, lors de mes voyages. J’aime beaucoup errer dans les rues, afin de trouver ce qui va attirer mon œil et me donner envie de shooter.
Pendant quelques années, j’ai aussi réalisé des reportages photos pour le journal local, ce qui m’a permis de vaincre ma peur de prendre des humains en photo. Quand on vous demande de faire un reportage photo pour un article de presse, il faut nécessairement prendre des humains en photos pour illustrer les textes. Au début, c’était un peu effrayant, mais l’obligation de résultat vous pousse hors de sa zone de confort et fait avancer.
Durant toutes ces années, j’ai eu également l’occasion de prendre de nombreuses photos d’évènements sportifs, notamment de course à pied. Une pratique qui force à prendre très photos très rapidement, le passage d’un coureur se fait en quelques secondes et il ne repassera plus. Une pratique très enrichissante pour être réactif sur les prises de vue, ce qui aide dans d’autres thématiques, comme la photo de rue.
Toutes les occasions sont bonnes pour prendre des photos. La fête de la musique est chaque année pour moi une très bonne excuse pour allier deux de mes passions, la photo et la musique. C’est une nouvelle fois la possibilité de prendre des photos d’humains, facilement. Les artistes qui jouent en pleine rue peuvent être vos premiers modèles. Ils se mettent en lumière, et sont donc consentants pour être pris en photo et bien souvent joueront même le jeu sans qu’on leur demande.
Je suis persuadé que le partage de ces pellicules m’a fait progresser dans ma pratique de la photo. Le fait de partager, d’exposer ces photos, c’est très différent que de les garder dans son disque dur. L’édition (la sélection), le traitement, en vue de la diffusion, est une démarche très formatrice.
Si j’expose mes photos, c’est n’est pas pour un besoin de reconnaissance, même si inconsciemment c’est peut-être un peu le cas, mais plutôt pour progresser dans ma pratique. Le fait d’exposer mes photos m’impose une rigueur supplémentaire, si vous hésitez encore, je vous conseille vivement à passer le pas.N’hésitez pas également à partager vos pellicules ou portfolios dans les commentaires.
Ma sélection, 100 photos pour 100 pellicules
Pour cette centième pellicule, j’ai donc fait une sélection d’une photo dans chacune d’elles, afin de vous donner envie d’en découvrir davantage. Vous pourrez retrouver toutes mes pellicules en suivant le lien ci-dessous.